Voir les messages non lus
- /home/jaci4812/public_html/policerpg.com/includes/menu.php on line 95
">Voir les messages que j'ai postés
- Voir les topic suivis
Vous êtes ici : Index du forum Profil de A.J. Dickerson
A.J. Dickerson a posté 230 messages. Voir tous les messages
Vous avez 230 points de popularité avec le niveau 2 et êtes populaire à Seattle.
À Seattle
Ce personnage a été inscrit par le membre Augure
Il s'est enregistré Le 22/09/2009 à 12:00:00, soit il y a 15 ans, 23 jours.
A.J. Dickerson s'est connecté pour la dernière fois Le 14/03/2018 à 16:13:34.
Warning: Undefined array key "perso" in /home/jaci4812/public_html/policerpg.com/voirprofil.php on line 178
Warning: Undefined array key "perso" in /home/jaci4812/public_html/policerpg.com/voirprofil.php on line 183
Date de naissance : 07/12/1976
Age : 38 ans
Lieu de naissance : Hôpital militaire de Pensacola, Floride
Situation familiale : Célibataire sans enfant
Taille : 163 cm
Poids : 60 kg
Cheveux : bruns
Yeux : marrons
Signes particuliers :
Tatouage sur l’épaule gauche représentant un crâne portant un chapeau de cowboy et un foulard.[center]
Formation : - Diplômé de la Wickenburg High School en 1999. - 2 ans à l’Académie Navale d’Annapolis, renvoyé pour tricherie. - 5 ans comme videur dans un bar d’un coin paumé de l’Arizona.
Votre Voie : Policier
Grade de début : 2
Expertise : Aussi loin qu’il se souvienne, AJ a toujours menti, sur tout et n’importe quoi. Au départ, il s’agissait surtout d’échapper aux brimades, conséquences de sa paresse. Lorsqu’en primaire il séchait les cours pour lire des comics, qu’il ne faisait pas ses devoirs pour jouer au baseball, et qu’il n’étudiait pas parce qu’il n’en avait pas envie. C’est devenu une habitude. AJ ment, même sans raison, sur tout et n’importe quoi, comme si la question la plus anodine ne méritait même pas la moindre franchise. C’est peut-être une forme de protection, c’est surtout un moyen d’être libre.
Andrew Joseph Dickerson, quatrième du nom, est issu d’une longue lignée d’officiers de marine. Et dans une famille comme celle là, naître 40 ans jour pour jour après le désastre de Pearl Harbor ne pouvait pas être un bon signe.
Le Commander Andrew Joseph Dickerson Senior est mort en héros quand son navire, le Destroyer USS Hammann, fut coulé par un sous-marin japonais lors de la bataille de Midway dans le Pacifique en 1942. Sa seconde Bronze Star lui fut attribuée à titre posthume.
Andrew Joseph Dickerson Junior, aujourd’hui Rear Admiral à la retraite, a reçu une Silver Star pour avoir ramené seul jusque ses lignes trois des hommes blessés de son escouade de Navy Seals alors qu’il avait une balle dans l’épaule au Viet-Nam en 1967.
Andrew Joseph Dickerson III, aujourd’hui Admiral trois étoiles, a reçu une Purple Heart après avoir été blessé par balles et s’être éjecté de son Tomcat pendant la première Guerre du Golfe en 1991.
Le destin d’Andrew, plus souvent appelé AJ, était de suivre les traces des membres illustres de sa famille. Cette décision avait été arrêtée bien avant sa naissance et ne nécessitait pas l’appréciation de l’intéressé. Il irait dans des écoles privées avant de rejoindre la prestigieuse Académie Navale d’Annapolis qui ferait de lui un officier de marine. Ensuite, il servirait son pays avec gloire et honneur en accumulant les faits d’armes et les décorations. Après tout, c’était dans son sang. AJ Dickerson, troisième du nom, ne s’amusait-il pas à répéter que la première action navale d’un membre de la famille avait été de jeter une cargaison de thé par-dessus bord dans le Port de Boston deux siècles auparavant ?
Malheureusement, AJ montra très vite qu’il n’avait pas les mêmes aptitudes que les autres membres de sa famille. En primaire, ses résultats scolaires ne furent pas mirobolants, à part en anglais. Il développa une grande ingéniosité pour échapper à l’école. Il simula divers malaises et maladies, sécha les cours et arrondissait son argent de poche en vendant de faux mots d’excuses à ses copains. AJ préférait de loin passer son temps à lire des bandes dessinées. Spider-Man était sa favorite.
Adolescent, AJ fut envoyé par son père à la Taft School, internat privé chargé de le préparer aux hautes aspirations de ses parents. Mais AJ ne collait pas au moule. L’anglais était la seule matière dans laquelle il brillait. A part ça, il réussissait à peine ses examens, se cachait à la bibliothèque pour lire des bédés au lieu d’aller en classe, répondait aux professeurs et de temps à autres, il fuguait, bien décidé à quitter cet horrible endroit. Il développa malgré tout un intérêt et un talent particulier pour le baseball même s’il fut souvent exclu de l’équipe en raison de ses piètres résultats académiques. Bien loin de représenter ce que les professeurs appelaient un « Taft-Man », il finit par se faire exclure définitivement de l’école à l’âge de 17 ans, un peu avant de terminer l’avant dernière année de sa scolarité.
Lorsqu’il revint à la demeure familiale à Washington, DC. La dispute avec ses parents fut violente. Surtout avec son père puisque sa mère restait assise à pleurer et sans dire quoi que ce soit. AJ s’enfuit de la maison et se réfugia chez ses grands-parents qui avaient acheté un ranch dans l’Arizona depuis que le grand père avait pris sa retraite. Là, il prit le temps de se ressourcer et fut progressivement ramené à la raison. Il resta là bas, dans le ranch et termina ses études secondaires dans l’école publique de la petite ville de Wickenburg, pas très loin de Phoenix.
Il posa sa candidature à l’Académie Navale, sans enthousiasme. Il ne voulait pas décevoir ses parents une nouvelle fois. Son parcours scolaire chaotique aurait du l’empêcher d’être admis mais quand on a deux amiraux dans la famille, la sélection est moins stricte.
AJ fut donc envoyé en « Boot Camp », la phase d’initiation à la vie militaire. Il apprit à obéir aux ordres, à marcher au pas, ainsi que les rudiments du combat au corps à corps et du tir au pistolet et au fusil d’assaut. Le jeune homme apprécia la vie purement militaire, malheureusement, l’entrée en classe se passa moins bien. Encore une fois, à part en anglais, ses résultats furent plus que moyens.
Andrew continua le baseball et devint rapidement le lanceur attitré de l’équipe d’Annapolis. Plusieurs recruteurs de clubs professionnels assistèrent à quelques uns de ses matches, en sachant que s’il restait dans la Navy, il aurait un engagement de 6 ans après ses études avant de pouvoir rejoindre un club. AJ savait qu’il n’était pas fait pour la Navy. Il aurait adoré devenir joueur de baseball professionnel. Mais cet avenir là semblait également compromis.
Alors qu’il voyait ses rêves s’évanouir, AJ se laissa aller à ses anciens comportements. Il devint égocentrique, aigre et négligent. Il tricha aux examens, fit le mur pour aller se saouler dans des bars et faire des parties de poker illégales. Quand il se faisait prendre, il n’hésitait pas à inventer n’importe quoi pour s’en tirer, y compris balancer sur des condisciples qui n’avaient rien à se reprocher.
Au bout de deux ans, l’influence des amiraux de la famille ne suffit plus à couvrir ses bourdes et débordements. Il fut renvoyé de l’Académie et libéré de toute obligation militaire.
Son père, plus en colère qu’il ne l’avait jamais été, le chassa de chez lui. Ca, AJ s’y attendait. Il tenta de trouver refuge chez ses grands-parents dans l’Arizona, mais à sa grande surprise, ils le chassèrent aussi. Il était « le déshonneur de la famille et s’était moqué de tout le monde alors que sa famille avait essayé de l’aider » comme disait son grand-père. « Vas te faire pendre ailleurs » fut la dernière parole qu’il entendit du clan Dickerson. AJ coupa donc les ponts avec sa famille, forcé mais en colère. Il ne voulait plus entendre parler de sa famille ni de la Navy.
Il aurait voulu devenir professionnel de baseball, mais aux Etats-Unis, avant de devenir professionnel, il faut obtenir un diplôme universitaire. Et comment entrer dans une université en ayant eu des résultats scolaires déplorables, s’être fait renvoyé d’Annapolis et sans argent ?
AJ avait vingt ans et il sombra dans une profonde dépression. Toujours dans l’Arizona, il trouva un job de videur au Seven, un bar miteux sur une route qui traversait le désert. Il vécut dans une caravane et prit goût à la musique country, au tabac à chiquer et au Jack Daniel’s.
La déchéance. Au bout d’un moment, AJ passa de plus en plus de temps à boire et de moins en moins de temps à travailler. Il reprit goût au poker, joua de nombreuses parties illégales et emprunta de l’argent à des types louches. C’est à cette période qu’il se fit tatouer avec trois copains alors qu’ils étaient complètement saouls.
A force de boire avec les clients du bar où il travaillait, AJ finit par sympathiser avec plusieurs d’entre eux. Des épaves pour la plupart. C’est à ce moment qu’il rencontra Jenny, 25 ans, alcoolique et mère célibataire. AJ et elle eurent une liaison bien qu’ils cessèrent de se toucher assez vite. Jenny habitait avec son fils de 8 ans, Josh, dans un appartement délabré de la banlieue de Phoenix. Elle passait son temps à sortir, rentrait ivre et dormait une bonne partie de la journée pour soigner sa gueule de bois. AJ n’éprouvait rien à son égard, mais il s’était pris d’affection pour Josh qui à 8 ans, était déjà capable de faire tourner la maison tout seul. Avec une mère alcoolique et un père qui prenait quelques vacances au pénitencier de Phoenix West, il n’avait pas vraiment eu le choix. AJ s’en occupa beaucoup et retrouva une raison de se battre. Il l’aida à faire ses devoirs, lui apprit à jouer au baseball et alla voir chacun des matches qu’il joua avec l’équipe de son école.
Cette situation dura un moment. Jenny tenta quelques cures de désintoxication, sans succès. Puis elle rencontra quelqu’un, elle partit avec Josh s’installer en Californie avec un type qui traînait un casier judiciaire si long que l’imprimer devait coûter la vie à plusieurs arbres de la forêt amazonienne.
Ca faisait un moment qu’AJ réfléchissait à sa vie. Et bien qu’il fût abattu d’avoir perdu contact avec Josh, il décida de reprendre un peu sa vie en main. Il ne pouvait pas rester indéfiniment de sa caravane perdue au fond de l’Arizona à boire du whiskey.
Il décida de partir, là où on n’avait pas encore entendu parler de lui et de ses ennuis avec l’alcool et le jeu. Il se rendit à la station de bus Greyhound de Phoenix et prit un billet pour le bus qui partait le plus tôt : celui à destination de Seattle.
Arrivé sur place, il chercha un immédiatement un travail et tomba sur une énorme affiche publicitaire en centre ville : « A Job Like No Other : Seattle Police Departement ». AJ réfléchit et se dit qu’il pouvait essayer. Après avoir réussi à se faire admettre à Annapolis, ça ne devait pas être trop dur d’entrer à l’académie de police. Et le peu de choses qu’il avait appris à la Navy pouvait lui servir dans la police.
Aftermath
Il fallut plusieurs mois à AJ pour se remettre des blessures qu’il avait subies en Irlande. Epuisé par le métier de policier et ne voyant aucun attrait au travail de bureau, AJ remit sa démission au SPD à la fin de son congé de maladie. Il fit une grande fête de départ avec ses collègues du SPD Center et se prit une cuite mémorable.
Il rassembla ce qu’il lui restait des primes de mission dangereuses et des dédommagements payés par la ville et le gouvernement fédéral pour les blessures subies et contracta un emprunt à la banque pour monter son bar. Avec sa compagne Cassie Myers, il ouvrit dans le centre-ville, à quelques blocs à peine du SPD Center, AJ’S SALOON, un bar souvent bondé en soirée le week-end, qui diffuse de la country – rock et du punk, où le bourbon frelaté côtoie la bière light et où sont organisés une fois par semaine des combats de catch féminin. Sous les cris d’un public mâle déchaîné, les corps huileux ne s’élancent l’un contre l’autre qu’au signal de l’arbitre, fonction systématiquement assurée par le patron lui-même.
Malgré tout, AJ a gardé des contacts au SPD Center. Quand il y a du grabuge dans son bar, il passe un coup de téléphone et la police descend immédiatement. Certains membres des forces de l’ordre viennent de temps en temps se détendre incognito. Car le bar n’est pas toujours bien fréquenté. AJ laisse souvent traîner son oreille au hasard des conversations et file parfois quelques tuyaux à ses anciens collègues.
A l’ouverture, AJ a promis d’offrir une tournée au capitaine Gregory s’il venait le voir dans « sa nouvelle
AJ est égocentrique, cynique et individualiste. Il est moins renfermé sur lui-même que ce qu’il n’a été, mais il est rare que quelqu’un ait plus d’importance que lui-même à ses yeux ce qui le rend peu digne de confiance.
Il est intelligent et fait souvent preuve d’astuce plus que de morale pour se sortir de situations difficiles. AJ est enclin à la dépression et il lui arrive parfois de passer quelques moments avec sa meilleure amie, une bouteille de Old N° 7.
AJ est également borné, il change rarement d’avis quand il a une idée en tête. Il peut se montrer sympa et prévenant, mais ce n’est pas pour ça qu’on peut lui faire confiance.
Interprète sur l'avatar : Zachary Quinto
Comment avez vous connu le SPD ? Tour de Jeu
Quelles sont vos disponibilités ? De la semaine et de temps en temps en week end.
Pourquoi avoir choisi ce RPG ? Le côté policier et la vie à l’américaine
Souhaitez-vous que votre MJ utilise votre BG dans le jeu ? Je veux qu'on utilise tout ce qui est mentionné dans mon BG.